Questions en attente de réponse

Cette page reprend vos questions, même les plus triviales
A ces questions, des psychanalystes francophones issus de différentes associations et pays répondent en leur nom en étant attentifs à être très compréhensibles.
Au fur et à mesure des contributions, ces questions trouvent progressivement réponse. Nous laissons aux auteurs le choix du thème qu’ils souhaitent aborder ainsi que les délais qui leur conviennent. C’est la raison pour laquelle toutes les questions n’ont pas encore été traitées.
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  • Comment savoir  si je suis prêt  à faire une analyse ?
  • Pourquoi, généralement, le psychanalyste ne prescrit pas de médicaments?
  • Sans aucun souvenir une analyse est-elle possible ?
  • L’analyse n’est-elle pas réservée  à une sorte d’élite intellectuelle. Ne faut-il pas être intelligent, avoir une réelle créativité, une certaine culture pour accéder à ce type de thérapie ? D’ailleurs lorsque qu’on lit des récits d’analyse, je note que les personnes interrogées sont toutes issues d’un milieu plutôt « intello » (journaliste, médecin, énarque, inspecteur des impôts…), peu de manœuvres, ouvrières d’usine ou de maçons !
  • Y a t-il une fin d’analyse? Si tout ne peut être analysé, à quoi correspond une fin d’analyse?
  • Dans quelle mesure la psychanalyse peut-elle être appliquée à une pratique institutionnelle ? Et sous quelles conditions ?
  • Peut-on faire le deuil d’un parent vivant mais dont on n’a plus d’envie de contact ?
  • Qels sont les effets d’une psychanalyse?
    Je m’intéresse aux effets de la psychanalyse depuis le jour ou j’ai entrepris ce voyage vers soi. Il y a de cela cinq ans, je me suis allongé sur un divan. Il m’arrive d’avoir des doutes sur les pratiques et surtout les effets de l’analyse. "La terre promise" n’existerait elle pas. Il est vrai que j’ai un passif lourd et que mon fonctionnement ne facilite pas l’épanouissement. Les effets tardent à venir. Pour résumé je suis rentré en grande souffrance dans mon analyse j’ai mis deux ans à en "sortir"  et j’ai connu quatre ans par trop mal et puis" replouf"… presque aussi grave. Je n’arrive pas à m’en sortir Est-ce que cette démarche peut elle me faire du bien et arriver à trouver une voie professionnelle et à me construire une vie sociale, affective satisfaisante
  • Quelle est la place du réel dans une psychanalyse ?
    Je pourrais vous donner l’exemple du paiement d’une séance, il y a la réalité et il y a le sens. Quelle place la psychanalyse accorde t’elle à cela ?
    Le réel serait-il pour la psychanalyse ce que ne fait pas sens ?
    Quelle place occupe le réel en psychanalyse ?L’importance accordée à la relation de transfert  dans une analyse fait que je me pose la question de savoir où est le réel dans celle-ci et en quoi ce réel diffère de celui que je perçois dans une relation hors analytique ?
  • En quoi la formation universitaire à la psychologie  ne peut elle se réclamer d’une formation psychanalytique et la technique du transfert ?
  •  Y a-t-il de bonnes et de mauvaises raisons de devenir psychanalyste ?
  • Quelle est la différence entre psychanalyse et psychologie ?
  • Quelle est la différence entre psychanalyse et psychiatrie ?
  • Tout psychanalyste est-il freudien ?
  • Comment mettre mon travail psychanalytique en "puissance" ? 
    [… Je suis en analyse et] j’ai l’impression de faire du sur place et de "papoter".  Je suis très frustrée et agacée de ne pas avancer comme je le souhaiterais.  Je me pose très souvent la question de savoir si la méthode me convient.  Je dis cela car d’une part je suis plutôt cartésienne de nature. D’autre part, j’ai l’impression d’avoir plus besoin d’un conseiller que d’un miroir.  J’ai même besoin qu’on me "bouscule" un peu pour me faire réfléchir, qu’on me propose un point de vue pour que j’y réfléchisse et que j’en prenne ce qui me convient, j’ai besoin d’un avis éclairé sur ma manière d’agir, j’ai besoin d’entendre des vérités (bonnes et moins bonnes) sur moi.

    J’ai confiance en mon psychanalyste et j’ai conscience qu’il ne peut pas me donner ce que j’attends (en tous cas pas directement selon ce que j’explique ci-dessus) puisque c’est justement à un autre niveau qu’intervient la psychanalyse.  En résumé, j’ai justement l’impression de bloquer à ce "niveau" et de ne pas savoir "entrer" dans les "règles du jeu".  Résistance, entêtement, paresse, priorité à l’objectivité, difficulté à entrer en contact avec mes émotions et avec le symbolique ou manque de confiance (à qui ?) 

  • Freudien, Lacanien, Jungien, Kleinien… comment s’y retrouver ?
  • Faut-il tout dire à son psychanalyste?
  • Qu’est-ce qu’un secret de famille ?
  • Quels sont les critères d’exclusion pour un candidat analyste?
  • Tout psychanalyste doit-il être psychanalysé ?
  • Celui qui va chez un psychanalyste, c’est un patient, un analysé, un analysant ?
  • Est-il normal que je m’attache à mon analyste ?
  • Quand une psychanalyse est-elle finie ?
  • Une psychanalyse, c’est combien de séances par semaine ?
  • Combien de temps dure une analyse ?
  • Psychosomatique, ça veut dire quoi ?
  • Que coûte une séance ?
  • Quel est l’intérêt de s’allonger sur un divan ?
  • Les psychanalystes sont-ils des gourous ?
  • Les psychanalystes ont-t-ils besoins de maîtres ?
  • Faut-il toujours aller chercher dans la petite enfance? 
  • La psychanalyse se soucie-t-elle de la santé ou de la normalité?
  • Les psychanalystes maltraitent-ils les enfants autistes et leur famille ?
  • La psychanalyse est-elle en contradiction avec les neurosciences ?
  • Est-ce que je risque de me faire endoctriner ?
  • La psychanalyse peut-elle dire quelque chose du politique ?
  • Le psychanalyste peut-il prévoir l’avenir d’une personne ?
  • Pourquoi Freud, lorsqu’il n’était plus le seul psychanalyste, n’a pas entrepris une analyse?
  • Ce que je dis à un psychanalyste reste-il confidentiel ?
  • Le psychanalyste peut-il aider des personnes handicapées ?
  • Faut-il payer toutes les séances, même quand on a un empêchement majeur ?
  • Pourquoi c’est jamais la faute des pères ?
    La psychanalyse (ou bien devrais-je dire certains psychanalystes) s’est montrée jadis culpabilisante aux yeux du grand public à l’égard des mères.  Qu’a à dire la psychanalyse de la faute des pères ? Cette question est-elle pensée actuellement au sein de vos corporations ?  Y-a-t-il des raisons d’associer le déclin de fonction paternelle avec le malaise de notre société actuelle ?
  • Pourquoi l’analyste ne prononce jamais le prénom de son analysant ?
    Ça fait déjà 7 ans que je suis en analyse et jamais je n’ai entendu mon analyste m’appeler par mon prénom ou mon patronyme, jusqu’à croire parfois qu’il ne le connaît pas et ça me fait sentir que je suis anonyme. La technique psychanalytique impose-t-elle cet anonymat ? Et si oui, pourquoi ?



Règles éditoriales pour les contributions 
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  • La forme:
    Les textes, très compréhensibles pour le grand public (sans références bibliographiques) ne dépasseront pas une à deux pages (maximum 8.000 signes espaces compris).
     
  • Le ton:
    Ni scientifique, ni pédagogique ou journalistique… Il s’agit de faire entendre, à la première personne du singulier, sa manière d’être analyste, sa relation à l’analyse, à son analyse, à la théorie, aux collègues… 
     
  • Les mentions:
    Sont mentionnés uniquement les noms et prénoms de l’auteur, la ville et la date de rédaction du texte. S’ils le souhaitent, sont ajoutés l’adresse de leur site web et/ou la référence au dernier ouvrage publié. Sauf mention particulière, tous les auteurs sont psychanalystes ; nous ne mentionnons ni leurs autres titres, ni leur association d’appartenance, ni les autres publications.