Si je fais une psychanalyse, vais-je divorcer, perdre la foi ?
Cette question me paraît très légitime. Avant d’entreprendre une démarche thérapeutique d’envergure on aimerait en connaître les avantages et les risques.
L'intérêt que revêt le divan est a priori et selon moi – et sans doute selon quelques autres – de favoriser ce que l'on nomme la « libre association ». Tant celle et de prime abord, de l'analysant (l'allongé), que celle de l'analyste.