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Est-il normal que je m’attache à mon psychanalyste ?

Qu’est-ce que le transfert ? Est-il normal que je m’attache à mon psychanalyste ? Tombe-t-on amoureux de son psychanalyste ?

Il est tout à fait normal de s’attacher et même de tomber amoureux du psychanalyste. La situation analytique est une situation particulière, en dehors du contexte social habituel. C’est une situation permettant d’accéder au plus intime de soi même et à sa vérité profonde. La personne analyste, détournée du champ du regard, puisque derrière le divan, va pouvoir être investie d’affects, d’affection, comme un proche, ou un parent de la petite enfance. L’analyse va pouvoir alors se dérouler.

Au Liban, le travail de deuil peut éviter la guerre

Elisabeth Bertou | Le Courrier International |12-01-2007

Blessé par le conflit armé ayant duré plus d’un mois l’été dernier entre le Hezbollah et Israël, le pays du Cèdre n’a pas fini de panser ses plaies. D’autant que la situation politique actuelle, mettant en péril le fragile équilibre gouvernemental, revivifie dans l’esprit de ses habitants des souvenirs de guerre sans fin, soulignent des psychanalystes libanais.

Psychothérapeutes : «L’acharnement d’Accoyer est surprenant» [Jacques-Alain Miller ]

Catherine Fournier s’entretient avec Jacques-Alain Miller pour 20Minutes.fr (12 janvier 2007)

L’Assemblée nationale a adopté jeudi un amendement rendant obligatoire une formation universitaire pour les psychothérapeutes. Qu’en pensez-vous ?

Je suis surpris par l’acharnement de Bernard Accoyer (UMP) – auteur de l’amendement – sur ce sujet. D’autant que le motif de cet amendement, à savoir l’absence de décret d’application de l’article 52 de la loi du 9 août 2004, est totalement faux : il est aujourd’hui en Conseil d’Etat, après de longues négociations entre les psychothérapeutes, le ministère de l’Education et celui de la Santé… C’est une claque pour Xavier Bertrand, désavoué par une partie de la majorité.

La psychanalyse marche-t-elle hors occident ?

Les peuples « traditionnels », dont le Maroc où j’écris ces lignes, disposaient d’un système explicatif des troubles et souffrances psychiques et d’une batterie de « traitements » en rapport avec la manière ancestrale de comprendre les perturbations mentales et affectives. La folie était recyclée dans la société traditionnelle grâce à ces systèmes de soins adéquats à une période historique aujourd’hui révolue : devins, voyantes, exorcistes sont les tradithérapeutes ou tradipraticiens. Tombeaux de saints et marabouts sont les lieux où certains personnages défunts sont considérés comme ayant le don de guérir et spécifiquement le trouble psychique, par exemple, Bouya Omar, au sud du Maroc, non loin de Marrakech.

Comment choisir son psychanalyste ?

Quand, en raison de la souffrance psychique qu’elle éprouve, une personne se résout à entreprendre un traitement psychanalytique, la question se pose pour elle de savoir vers qui se tourner. Cette décision importante peut avoir des conséquences sur l’existence dans son ensemble et il est donc nécessaire d’y consacrer une grande attention. Le choix du psychanalyste doit s’effectuer en fonction de deux critères : d’une part sa compétence professionnelle ; d’autre part sa compatibilité avec le futur patient.

Une place (d)’exception(nelle) pour la psychanalyse ?

Réaction à l’article paru dans la Libre Belgique le 8-11-06 «Laisser les mains libres à la psychanalyse »

Je souhaite réagir à cet article signé par 45 psychanalystes. En effet, si je comprends le souci de collègues de défendre la psychanalyse par crainte du danger que représenterait à leurs yeux le projet de loi du Ministre de la santé Rudy Demotte, je ne peux cependant souscrire aux arguments ni à la méthode utilisés pour ce faire et souhaite dès lors exprimer ici mon désaccord  avec ce texte. Pourquoi ?