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Une psychanalyse, pourquoi ça fait mal ?

Visiteur: (…) Oui j’ai des questions: Pourquoi la psychanalyse fait mal?

Squiggle: Je ne suis pas certain de comprendre votre question. Que voulez-vous dire par "fait mal"?

Visiteur: Je veux dire "est douloureuse" par exemple, ou "fait souffrir". On dit parfois "il faut souffrir pour être beau", ça sonne comme une évidence. Avec la psychanalyse aussi, on peut être plus soi-même, être plus libre, être plus "beau", mais il faut traverser des grandes aires de souffrance. Et bien sûr ça a l’air normal, "il faut relire la page pour pouvoir la tourner", "on ne digère que ce qu’on a gouté", etc… c’est du savoir populaire, mais pourquoi en est-il ainsi? pourquoi faut-il souffrir pour être beau? pourquoi la psychanalyse doit-elle faire mal?
Je conviens que ma question est peut être un peu naïve, mais c’est une vraie question pourtant.

Renaissance de l’ordre moral

Un phénomène préoccupant, apparu en France depuis quelques années, vient de connaître un nouveau développement avec la surprenante décision d’un administrateur de la Comédie Française concernant la programmation d’une mise en scène d’une pièce de Peter Handke, Voyage au pays sonore, ou l’art de la question.

Psychanalyse et écriture

J’ai commencé à écrire alors que j’avais entamé une analyse depuis quelques années, déjà. C’est donc l’analyse qui a été première, c’est-à-dire qu’il m’aura « fallu » en passer par elle (et par d’autres choses que je n’évoque pas ici) pour accéder à l’écriture. C’est indémontrable, je ne pourrais (ni ne voudrais) expliquer ce lien, mais je sais qu’il en est allé ainsi, dans mon histoire. (C’est pourquoi, écrire n’est aucunement pour moi une thérapie !) 

Y a-t-il compatibilité entre cure psychanalytique et médicaments ?

L’industrie pharmaceutique, s’inscrivant dans le discours capitaliste, tente de répondre au malaise de la civilisation par la production de médicaments psychotropes visant à réduire les douleurs psychiques. Elle vient pallier – par la voie scientifique – à la solution « naturelle » qu’est la toxicomanie. Les êtres humains ont, en effet, de tous temps, tenté de supporter la lourdeur d’exister avec l’aide de stupéfiants, à défaut de pouvoir le faire par la voie de la sublimation comme le travail scientifique, l’art ou la religion. La grande névrose contemporaine est la carence paternelle devant la promesse de jouissance sans limite  proposée par notre société. Les psychotropes sont, dans la même optique, proposés au consommateur comme une euphorie en pilules garantie sous le couvert de la science.

FAQ

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Pourquoi les psychanalystes n’arrêtent pas de citer Freud ou Lacan ?

Lorsqu’un scientifique relate une expérimentation, il ne cite plus les fondateurs de sa discipline. Lorsqu’un psychanalyste veut rendre compte de l’expérience analytique, il ne manque jamais de se référer à la découverte de Freud et, s’il est “ lacanien ”, à la façon dont Lacan la fonde. D’où la critique du scientifique à l’endroit du psychanalyste : la psychanalyse sera une science le jour où elle oubliera les noms propres de Freud et Lacan.

Deux affirmations font une nation : le passage de la horde

Le 14 février 2005, Rafic Hariri, ancien premier ministre libanais, meurt, à Beyrouth, dans un attentat d’une extrême violence. Aussitôt la nouvelle connue, une manifestation spontanée réunit des milliers de citoyens libanais venus crier leur douleur et réclamer justice. Puis, chaque soir, des libanais de toutes confessions, de toutes tendances politiques, se retrouvent fraternellement en une sorte de veillée funèbre autour de sa tombe.

Ce sont les retrouvailles de cette large fratrie autour du meurtre du père qui paraît à Chawki Azouri porter les prémisses de la fondation d’une société libanaise démocratique. (07-06-06 – D.S.)