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Pas de zéro de conduite pour les enfants de trois ans [Le livre]

Parution le 8 juin 2006 de « Pas de zéro de conduite pour les enfants de 3 ans ! » (Ed Eres 10€)
Préface d’Albert Jacquard
Avec la participation de : l’Association des collectifs enfants, parents, professionnels (ACEPP), Patrick Ben Soussan, Christine Bellas-Cabane, Michel Botbol, François Bourdillon, Marie-Laure Cadart, Jean-François Cottes, Pierre Delion, Michel Dugnat (coordination), Sylviane Giampino, Bernard Golse, Roland Gori, Catherine Graindorge, Evelyne Lenoble, Philippe Meirieu, Laurent Mucchielli, Gérard Neyrand, Michel Parazelli, Bruno Percebois, Gérard Schmit, Pierre Suesser.
Et aussi Autheman, Eddi, Jiho, Pancho, Zou.

La violence a cent visages

Le meurtre de Joe en pleine gare centrale pour obtenir un MP3, l’agression d’un professeur par son élève, et l’assassinat dans la rue d’une femme malienne et de l’enfant qui l’accompagne dans une ville où le discours raciste est fréquent… ces événements* seraient-ils liés ? Le point commun que chacun identifiera aisément : la violence y a été mise en acte, et qui d’un peu raisonnable pour ne pas la fustiger. Mais, en dehors de ce trait commun, rien ne permet à première vue de nouer la montée de l’extrémisme et du racisme avec le passage à l’acte d’un délinquant ou avec les problèmes spécifiques de l’enseignement aujourd’hui. Mais est-ce si sûr ?

Et si la science donnait raison

Gilbert Charles, Régis de Closets | L’Express|11-05-2006

A mesure qu’ils avancent dans l’exploration de la machinerie cérébrale, les neurobiologistes découvrent qu’elle obéit à des lois beaucoup plus complexes qu’ils ne l’imaginaient. Et que la vie mentale dont elle est le terrain confirme, des rêves au langage ou à l’imagination, nombre des intuitions du père de la psychanalyse. La fin, peut-être, d’une vieille querelle

Ma vie textuelle

Paru dans Libération le 04  mai 2006

Lorsque j’ouvre un texte, son sens s’offre à moi avec évidence. Mais en suivant la trame qui m’est proposée, je bute parfois sur des obstacles ou des éléments qui invalident ma compréhension préalable. Comme si, d’un coup d’énigme, la bouche du texte se refermait sur sa propre parole. Face à ce blocage de compréhension, mon seul recours est de deviner les mots de l’énigme en interrogeant tout ce que je trouve. L’oeuvre devient un vaste champ d’associations internes. Je tente de relier événements, personnages, mots, idées et procédés langagiers à partir d’une énigme particulière : pourquoi, par exemple, Hamlet est-il incapable de tuer l’assassin de son père ? Le texte se mue alors en un ouvrage de référence sur lui-même. Fort de ce parti pris qui confère à l’oeuvre un pouvoir d’éclaircissement, je fais l’hypothèse que l’obstacle veut exprimer ce qui en lui se réserve et qui retient la lecture. En un mot, le texte rés! iste et ce sont ces résistances que je m’emploie à analyser.

Freud aurait eu 150 ans

Guy Duplat | La Libre | 05-05-2006

Sigmund Freud est né un 6 mai, il y a juste 150 ans, à Pribor en République tchèque.
Sa dernière patiente encore en vie témoigne.
Géant du vingtième siècle, il a bouleversé notre vision de l’homme et ne cesse de créer la polémique.

L’ivre noir, réflexions d’un clinicien

Paru dans Le Monde, le 4 mai 2006 

Ah ! quelle joie, quelle jubilation de lire Le Livre noir de la psychanalyse (Les Arènes), puis quelques mois plus tard Pourquoi tant de haine (Navarin) et L’Anti-livre noir de la psychanalyse (Seuil) ! Enfin le combat a lieu, enfin ils s’affrontent – à ma grande satisfaction, pour mon grand bonheur. Quel plaisir d’assister à un conflit idéologique, de peser les arguments de chacun, y compris ceux d’une mauvaise foi exemplaire ! Ils se haïssent, se détestent, s’invectivent, se méprisent mais à tout le moins ils se répondent ! Les différences conceptuelles, philosophiques, épistémologiques, voire politiques, éclosent comme des bourgeons de printemps. Ils livrent bataille en place publique. Grand Dieu que c’est bon !

Accueillir l’étrangeté de chacun [Jacques Sédat et Paul-Laurent Assoun]

Jacques Sédat et Paul-Laurent Assoun s’entretiennent avec Robert Maggiori et Jean-Baptiste Marongiu pour Liberation (04-05-2006)

Née au XIXe siècle, la psychanalyse a pris son essor, malgré crises et schismes, tout au long du XXe siècle, pendant la vie de Freud et après sa disparition. Aujourd’hui, certains ne voient pour elle que l’«illusion d’un avenir». Peut-on dire au contraire qu’elle a encore une force propulsive, qui la pousse à approfondir l’exploration du «réel inconscient» et élargir la gamme de ses concepts ? Pour en parler, nous avons questionné le psychanalyste Jacques Sédat, d’Espace analytique, vice-président de l’Association Internationale d’histoire de la psychanalyse, et Paul-Laurent Assoun, psychanalyste lui aussi, professeur à l’université de Paris-VII, qui vient de publier Leçons psychanalytiques sur le transfert (Anthropos/Economica).